Le champ scientifique du GDR est centré sur l’interface matériaux-milieu biologique au sens large. La bio-ingénierie des interfaces vise donc à contrôler les propriétés physico-chimiques aux interfaces des matériaux de manière à en maîtriser leurs furtivités et leurs spécificités : la furtivité (terme emprunté aux nanoparticules mais s’appliquant ici aussi aux matériaux massifs) étant ici définie comme la capacité́ à ne pas engendrer de réactions indésirables et la spécificité étant définie ici comme la capacité à engendrer une réaction voulue. Les domaines d’applications de la bio-ingénierie de surface s’étendent des biocapteurs in vitro, aux biopuces, à la microfluidique, aux biomatériaux (implants)… avec des enjeux importants dans les domaines du biomédical, du diagnostic, de l’agroalimentaire, de l’usine du futur ou de la surveillance de l’environnement…
- Soumissions et inscriptions : https://gdr-b2i-2021.sciencesconf.org