Imaginez une usine capable de produire des médicaments, des matériaux ou des carburants, mais dans laquelle certain·es ouvriers et ouvrières travaillent tellement bien que le rendement diminue. Paradoxal non ? C’est pourtant ce qu’il se passe à l’intérieur d’Escherichia coli, une bactérie dont des scientifiques tentent d’optimiser la production et de contrôler le zèle d’employé·es perfectionnistes !
Derrière ce contenu, on retrouve trois chercheur·es en biologie : Muriel Cocaign-Bousquet et Sébastien Nouaille, chercheur·es INRAE (Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement), ainsi que Laurence Girbal, chercheuse CNRS (Centre national de la recherche scientifique). Tous les trois effectuent leur recherche au sein du TBI – Toulouse Biotechnology Institute (INSA Toulouse, CNRS, INRAE, Université de Toulouse).
